NOUVELLES GÉNÉRALES / 02-05-2022
Bonjour Leire et merci de participer à ces rencontres. Pour commencer, pouvez-vous nous raconter comment vous êtes arrivée à Arania ?
Mon parcours auprès d’Arania a commencé en 2009, encore à l’université, au travers d’un programme de coopération au développement de matériaux pour l’équipe d’Innovation, Développement et Qualité.
Quel parcours avez-vous suivi au sein de l’entreprise ?
J’ai travaillé dans plusieurs services, tout d’abord celui d’assistance technique au client, centrée sur la recherche de nouveaux projets et à garantir la satisfaction envers le produit. Ensuite, dans les systèmes de gestion des différents services : qualité, sécurité, environnement et génie des procédés, en définissant des méthodologies pour garantir l’intégration et la cohérence entre les différents services de l’usine afin d’améliorer aussi bien leur efficacité que leur efficience.
Quel a été le plus grand défi auquel vous avez dû faire face ?
Je crois que parvenir à ce que les différents systèmes de gestion ne deviennent pas des services étanches, qu’ils travaillent de manière transversale avec toutes les personnes faisant partie d’ARANIA. Au final, l’objectif est que la culture de la sécurité, de la qualité et de l’environnement, fasse partie des personnes, c’est-à-dire de l’ADN de l’entreprise, avec le changement culturel résultant à tous les niveaux.
Quel a été selon vous le plus grand changement d’Arania dans ce domaine ? Quelle évolution prévoyez-vous dans les prochaines années ?
Des changements, il y en a eu beaucoup. Concrètement, dans le domaine de l’environnement, tout comme pour la société, plus qu’une évolution, ça a été une révolution. L’environnement est devenu un point essentiel de la stratégie de l’entreprise. Le défi est d’imaginer et de concevoir une ARANIA durable.
Un des projets réalisés en 2021 a été le calcul de l’Empreinte Carbone de l’Organisation, qui permet de déterminer les émissions de carbone produites et qui, segmentées en 3 parties, nous montrent les principales zones d’émission.
Il existe des actions que nous développons déjà à court terme mais nous espérons une grande transformation dans le secteur de l'acier, vers un « acier vert ».
Comment vous êtes-vous intéressée au milieu industriel ?
J’ai toujours été attirée par la branche technique et aussi par les possibilités que je voyais dans ce milieu. L’industrie est pleine d'opportunités, où les jeunes peuvent développer leur carrière et où ils vont être nécessaires pour diriger la transformation, entre autre numérique, à laquelle nous allons faire face.
Et évidemment, je souhaite encourager les femmes à penser à développer leur carrière dans le secteur industriel. Ce secteur est en perpétuelle rénovation et, grâce aux politiques d’égalité et aux outils objectifs qui évaluent les personnes pour leur travail et non pour leur genre, l’incorporation de la femme dans l’industrie est déjà une réalité.
Sur le plan personnel maintenant, quel est votre plus grand loisir ou votre passion ? Vous a-t-il aidé, de quelque manière que ce soit, dans votre travail ?
La nature, les voyages et le sport : la randonnée, le roller, la plongée, la natation, le Pilates...
J’ai toujours aimé relever les défis dans mes passions et les mélanger. Cela implique une organisation et un sacrifice, mais me génère un grand enthousiasme comme escalader le Mont Fuji, nager la course Getaria-Zarauz.
Cette attitude, sans aucun doute, m’a aidé dans mon travail. Chaque projet que je dois développer professionnellement requiert une organisation et un sacrifice, et m’apporte également cet enthousiasme.
Et pour finir, comment est Leire en dehors du travail ?
D’une part, je suis une personne très dynamique qui pense continuellement au prochain défi, au prochain voyage, mais je suis également très calme et très famille, et je profite de mon entourage au jour le jour.
Nous vous remercions Leire.